• Mais que cherche donc la direction du site de GRENOBLE !
• Quel intérêt trouve-t-elle à faire la guerre aux salariés Grenoblois sur leurs congés ?
• Pourquoi la direction veut-elle m’empêcher d’acquérir le deuxième jour de fractionnement ?
• La direction assumera-t-elle les ordres improductifs et anti-économiques dont elle assomme les salariés Grenoblois ?

Voici les questions que tout un chacun se pose avec un minimum de bon sens et de sens de l’intérêt commun.

Vol du deuxième jour de fractionnement

Vu la planification de la RH, le seul moyen d’acquérir le deuxième jour de fractionnement est de prendre une semaine de congés entre le 10 et 25 avril.

Congés forcés semaine 7

La direction veut imposer la 5^e semaine de CPP semaine 7. Ce faisant, elle ignore :

• la vie privée des salariés, par exemple certains salariés ont déjà réservé pour une autre date.
• les contraintes de projets des divisions, par ex : tenue du congrès 3GSM la même semaine

Liquidation du CET en fin d’année
La direction veut que tous les CPP soient soldés au 31 Octobre. Avec cette planification, elle pousse pour la troisième année consécutive les salariés à vider leur CET.

Le site de Grenoble est le seul site ST France où la prise de congés est aussi contraignante.
La direction estime le gain de la fermeture semaine 7 entre 50 et 100k$ (moins de 4% de la rémunération annuelle de M. Bozzoti)

Le but de cette planification nous semble clair :

• mettre au pas les salariés et les managers sur la question de gestions de congés :
  • planification à l’avance
  • peu de liberté de pose, etc.
• pousser les salariés à vider leur CET en leur imposant de prendre des congés à des moments qui ne les arrangent pas.

Après sa mise en place dans le cadre des 35h pour différer la prise de congés et augmenter le temps de travail, le CET est devenu un espace de liberté dans la pose des congés. C’est cet espace de liberté que la direction veut supprimer.

La direction est sourde à toutes les remarques sur le manque de bon sens de cette planification que ces remarques viennent du CE, des DPs ou de certains managers.

Après une année socialement difficile et à 0% d’augmentation alors que notre PDG et le staff gardent des rémunérations exorbitantes, ceci est vécue comme une brimade supplémentaire qui porte atteinte une fois de plus au moral des salariés.

Toutes nos tentatives de dialogue s’étant heurtées à un mur, c’est à nous les salariés de trouver ensemble les moyens d’être entendus.